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Réclamation des casinos en ligne



La législation sur les jeux français était à l’honneur cette semaine visant à alléger le fardeau d’imposition sur les opérateurs en ligne. Une loi adoptée le 12 mai 2010 a été chargée d’autoriser la réglementation des paris en ligne dans le pays mais a également été responsable de l’introduction d’une taxe de 7,5% sur les jeux de hasard et taxe de 2% sur le poker. De nombreux opérateurs se plaignent maintenant que ces taux sont trop élevés et entravent le développement de l’activité concurrentielle dans le pays. II réclament également l’autorisation des jeux de casino.

Les militants soutiennent que les lois actuelles ont un impact négatif sur le marché français en le rendant moins attractif et plus coûteux pour les consommateurs. Les experts mettent en garde que les révisions sérieuses sont nécessaires afin d’encourager de nouveaux opérateurs d’entrer sur le marché français. La création récente de l’association de jeu en ligne français (AFJEL) a été rapide. L’AFJEL demande maintenant au gouvernement d’envisager une nouvelle taxe sur le produit brut des jeux de hasard (PBJ) plutôt que ses dépenses.

En attendant, le ministre du Budget, François Baroin, reste inflexible le gouvernement ne lancera aucune réforme fiscale avant 2012. Une récente déclaration au nom du gouvernement a soutenu que les changements ne sont pas au programme. L’ARJEL a exprimé des vues plus optimistes en suggérant que des améliorations sont en cours. Jean-François Vilotte, le président de l’ARJET a déclaré que certaines modifications pourraient ainsi entrer en vigueur au cours de l’année à venir. Pas plus de détails sur les taux n’ont pas encore été fournies. Les membres de l’industrie suivront de près les développements.